«Les morts sont-ils vraiment morts quand ils vivent dans l’âme de ceux qui restent?» 
Grand admirateur du compositeur Richard Wagner, Anton Bruckner appris le décès de son héros alors qu’il était en train d’écrire sa
Symphonie N° 7.. Rien d’étonnant donc à ce que l’œuvre finie comporte des mélodies d’une beauté déchirante, ainsi que quatre «tubas wagnériens» en guise d’hommage… Leoš Janáček quant à lui songeait aussi à la fragilité de la vie humaine en écrivant
Taras Bulba., fresque musicale relatant une guerre sans merci ayant opposé peuples cosaques et polonais. Préparez-vous à une soirée pleine d’intenses récits symphoniques à la Philharmonie.