À propos de

Après quatre albums studio, il n’y a pas beaucoup de territoires que The 1975 n’ait pas encore exploré. Being Funny in a Foreign Language tente de faire justement cela en s’attaquant à l’amour et à la perte à l’ère post-internet.

Bio

Au travers de ses quatre albums studio, le groupe anglais The 1975 s’est essayé à quasiment tous les styles, de la glossy pop au punk anarchiste, en passant par le garage rock brut, l’electro-funk et la country, explorant au travers de ses textes incisifs des questions existentielles autour de thèmes aussi divers que la découverte de soi, le nihilisme, le changement climatique, la santé mentale, l’addiction, le post-modernisme ou le cybersexe. Que restait-il donc à faire à un groupe riche d’un tel vécu ? Au terme de 20 ans de carrière, The 1975 a décidé de revenir à l’essentiel dans son cinquième opus Being Funny in a Foreign Language.

Après deux années de pandémie au cours desquelles la technologie a permis de s’affranchir de l’isolement, le monde – et le groupe lui-même – était en quête d’authenticité. C’est dans cette veine que s’inscrit Being Funny, en traitant de thèmes tels que l’amour et la perte dans l’ère post-Internet. « J’ai le sentiment que les gens aspirent à des choses aussi dénuées que possible de technologie », déclare Matty Healy, le leader du groupe.

Enregistré entre les studios Real World, en Angleterre, et les mythiques studios Electric Lady, à New York, Being Funny est le premier album pour lequel le groupe a joué ensemble dans une même pièce, avec un mot d’ordre simple : tout devait avoir un son aussi organique que possible, raison pour laquelle les cordes ont pris le pas sur les synthés.

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