Don Camillo France 1952 | De : Julien Duvivier | version française | 108 minutes | 35mm | Avec : Fernandel, Gino Cervi, Sylvie

Quand Fernandel fait rire et réfléchir : un classique éternel !.

Dans un petit village d’Italie, le curé Don Camillo et le maire communiste Peppone se disputent sans cesse - mais finissent toujours par se réconcilier !

À l’origine du film, l’idée brillante d’attribuer à Fernandel le rôle de ce curé haut en couleur, dans l’adaptation des nouvelles de Giovanni Guareschi. Le succès est immédiat et phénoménal : Don Camillo devient l’un des personnages emblématiques de Fernandel dans les années 1950. Cette comédie pleine de charme est portée par un Fernandel éblouissant, dont les dialogues savoureux avec Dieu allient drôlerie et finesse.

Séance de cinéma formule café et gâteau : 8€ (réservation obligatoire)

▶ La séance à la Cinémathèque - Cloche d'Or est accessible aux personnes à mobilité réduite (nombre limité de places)

▶Infos & inscriptions (jusqu'au 18 novembre) : 352 4796-2428 / seniorsactivites@vdl.lu

Location : Cinémathèque @Cloche d'Or

Org. : Cinémathèque de la Ville de Luxembourg

Um Amor de Perdição Portugal 2008 | Mário Barroso | vostFR | 81’ | digital | Cast : Rafael Morais, Tomás Alves, Rui Morisson ▶ Locarno Film Festival, 2008

Dans le Portugal contemporain, l’adolescent solitaire et suicidaire Simão tombe amoureux de Teresa. Mais existe-t-elle vraiment ou n’est-elle qu’une illusion ? Leur passion devient le prétexte d’une révolte amoureuse et violente, un amour voué à l’échec.

En collaboration avec le Centre Culturel Portugais – Camões



Location : Cinémathèque @Cercle Cité

Org. : Cinémathèque de la Ville de Luxembourg

Inspirés par les objets d’art HOT LEGS. de Laura Welker et Atem, Dr. Gut de Nschotschi Haslinger présentés dans l'exposition €AT, les participant·e·s plient, fondent et modèlent des sculptures individuelles au gré de leur goût. 

À l'aide de cire de bougie, d'argile et d'outils, nous concevons nos propres objets artistiques de table, qu'ils soient figuratifs ou abstraits, pratiques ou non. 

Les visites guidées, gratuites, seront conduites par un·e médiateur·rice du Casino. Iels pourront être à l'occasion accompagné·e·s ou remplacé·e·s par le/la commissaire d'exposition.

Photo : Theatre of Cruelty, vue d'exposition © Casino Luxembourg - Forum d'art contemporain, 2025

LIEU : Casino Display, 1, rue de la Loge, L-1945 Luxembourg

Le projet de Léa Giordano pour périscope transforme le fait de regarder en un acte intime, presque secret. À travers un cadre étroit, les spectateur·rice·s découvrent des gros plans animés de gestes, de textures et de présences fugaces, qui se dévoilent progressivement pour devenir une réflexion sur la perception et l'invisible.  

Inspirée par les mécanismes du cinéma,l'œuvre transforme le regard en une expérience sensorielle, le mouvement transmet des émotions qui dépassent le récit. À la fois dissimulatrice et révélatrice, périscope invite à une observation lente et à un émerveillement silencieux, brouillant, la frontière entre l'image et l'imagination.

Léa Giordano est une artiste visuelle et cinéaste basée à Amsterdam et au Luxembourg. Après avoir obtenu une licence en photographie, elle a élargi sa pratique au cinéma expérimental à la Gerrit Rietveld Academy. Son travail oscille entre la photographie et les images animées, utilisant la matérialité du film analogique à la fois comme métaphore et comme moyen de façonner des récits. Sa pratique explore les thèmes du désir, de l'appartenance, de la mélancolie, du deuil et du temps qui passe. À travers une approche méditative de la nature et les processus haptiques du film analogique, Léa crée des espaces intimes où les émotions, les souvenirs et le temps s'entremêlent. 

Extrait de vidéo © courtesy de l'artiste

LIEU : Casino Display, 1, rue de la Loge, L-1945 Luxembourg

Le projet de Léa Giordano pour périscope transforme le fait de regarder en un acte intime, presque secret. À travers un cadre étroit, les spectateur·rice·s découvrent des gros plans animés de gestes, de textures et de présences fugaces, qui se dévoilent progressivement pour devenir une réflexion sur la perception et l'invisible.  

Inspirée par les mécanismes du cinéma, l'œuvre transforme le regard en une expérience sensorielle, où le mouvement transmet des émotions qui dépassent le récit. À la fois dissimulatrice et révélatrice, périscope invite à une observation lente et à un émerveillement silencieux, brouillant la frontière entre l'image et l'imagination.  

Léa Giordano est une artiste visuelle et cinéaste basée à Amsterdam et au Luxembourg. Après avoir obtenu une licence en photographie, elle a élargi sa pratique au cinéma expérimental à la Gerrit Rietveld Academy. Son travail oscille entre la photographie et les images animées, utilisant la matérialité du film analogique à la fois comme métaphore et comme moyen de façonner des récits. Sa pratique explore les thèmes du désir, de l'appartenance, de la mélancolie, du deuil et du temps qui passe. À travers une approche méditative de la nature et les processus haptiques du film analogique, Léa crée des espaces intimes où les émotions, les souvenirs et le temps s'entremêlent. 

Photo : Léa Giordano, Shared Air·s (extrait de vidéo), 2025 © courtesy de l'artiste

À propos d'Agnes Gryczkowska

Agnes Gryczkowska est une commissaire indépendante, écrivaine et musicienne. Elle est diplômée en histoire de l’art et titulaire d’un master en histoire de l’art moderne, 

commissariat et critique d’art de l’Université d’Édimbourg. Entre 2019 et 2022, Agnes Gryczkowska a été commissaire des expositions Amnesia Scanner: Anesthesia Scammer (2019) et Holly Herndon: PROTO (restaged) (2019) à la LAS Art Foundation de Berlin. Elle a également été commissaire au Schinkel Pavillon de Berlin, où elle a organisé les expositions HR Giger & Mire Lee. (2021) et Sun Rise|Sun Set .(2021).

Dernièrement, elle a été commissaire de l’exposition Au-delà (2023) à Lafayette Anticipations, à Paris.

Agnes Gryczkowska a également été enseignante invitée et mentor pour les étudiant·e·s à la Royal Danish Academy et au programme BPA// Berlin pour artistes.

 

Photo : Angélique Aubrit & Ludovic Beillard, Une solitude vraiment terrible, 2024, Galerie Kostka, Prague

Pendant la pandémie, Nora Cristea et Vincent Schneider, un duo de designers et de curateurs basé à Berlin, ont développé la plateforme artistique en ligne CAT (Contemporary Artist Things) dans le but de donner de la visibilité et du soutien à la scène émergente de l'art contemporain. Avec l'exposition €AT, le Casino Luxembourg – Forum d'art contemporain déplace cette initiative curatoriale dans l'espace institutionnel, offrant ainsi aux artistes une nouvelle visibilité.

Pensée comme une allégorie d’un dîner où création et accessibilité entrent en dialogue, €AT se veut à la fois métaphorique, inclusive et ouverte. Porté par Nora Cristea et Vincent Schneider, sous le commissariat de Kevin Muhlen, ce projet rassemble le travail d’une cinquantaine d’artistes internationaux à travers un large catalogue d’œuvres proposées en éditions limitées et disponibles à l’achat à des prix accessibles. Présentées sur deux grandes tables à la manière d’un banquet visuel, les œuvres sont disposées de façon horizontale dans un geste scénographique qui réaffirme l’égalité de traitement entre les artistes exposé·e·s. Chaque pièce, objet ou édition devient le support d’une expérimentation singulière, à la croisée de l’art, du design et de la culture populaire.

€AT est un jeu de mots entre le verbe anglais « to eat » – qui renvoie à la scénographie du banquet – et l’acronyme CAT (Contemporary Artist Things). En ajoutant au « C » les deux traits du symbole de l’euro (€), €AT souligne avec subtilité la dimension économique sous-jacente des spéculations du marché de l’art international face aux approches alliant dimension sociale et culture de soutien. Listées avec leurs tarifs, les œuvres peuvent être acquises sur simple demande à l’accueil du Casino Luxembourg. L’intégralité des recettes sera reversée aux artistes et au fonctionnement de la plateforme d’art en ligne.

Spécialement conçues pour l’exposition, plusieurs œuvres inédites seront dévoilées par les artistes Angélique Aubrit & Ludovic Beillard, Vanessa Brown et Mariechen Danz dont les productions ont été réalisées avec le soutien du Casino Luxembourg – Forum d’art contemporain. Une invitation a été lancée à Vanessa Brown par Kevin Muhlen ; à Mariechen Danz par Nora Cristea et Vincent Schneider ; et à Angélique Aubrit & Ludovic Beillard par Agnes Gryczkowska, curatrice de l’exposition Theatre of Cruelty présentée au Casino Luxembourg à partir du 15 novembre 2025, dont les deux artistes feront partie.

Dans cet atelier pour enfants de 3 à 5 ans tout tourne autour de la musique, de la danse et du mouvement..

Grâce à son apprentissage global, la rythmique stimule de manière ludique la motricité, le langage et la sensibilité des enfants.

Chaque heure est consacrée à un thème et les enfants sont invités à réagir à la musique avec leur musicalité et leur créativité. Ils utilisent des hochets, des tambours, des bois sonores et bien d’autres choses encore. Les enfants peuvent s’exprimer librement avec leur créativité et renforcent ainsi leur confiance en eux. L’atelier alterne des phases actives et des phases de détente et convient à tous les enfants, avec ou sans handicap.

Nous ne souhaitons exclure aucun enfant en raison de son handicap, mais nous devons vous informer que notre établissement n’est malheureusement pas accessible aux fauteuils roulants.

Important : pour que tout le monde bénéficie du déroulement de l’atelier, une participation régulière est demandée (toutes . Les enfants sont priés de se munir de chaussures de sport confortables.

Entrée: gratuite

Plus d'informations: info@ewb.lu

Une inscription est nécessaire.

Plongez dans la vaste collection de documents patrimoniaux qui ont été numérisés par la BnL. Nos experts vous guident à travers les différentes fonctionnalités du portail eluxemburgensia.lu et vous apprenez à faire des recherches documentaires efficaces. Découvrez les revues, journaux et autres ressources qui ont marqué l’histoire sociale, culturelle et politique du pays.

Nina, Fredrik et Ingrid racontent Markus, 18 ans, fan de foot et de rock grunge à la fin des années 80. Pour avancer malgré l’obscurité qui l’envahit, Markus s’accroche à des instants de lumière qui le traversent quand il écoute Nirvana, qu’il fait une partie de Mario Bros avec son frère, qu’il vit son premier amour avec Katrina…

Même si son cœur a arrêté de battre, Markus n’a pas complètement disparu. Il reste encore des morceaux de lui dans la mémoire de celles et ceux qui l’ont aimé. D’anecdotes en souvenirs, Nina, Fredrik et Ingrid racontent leur histoire partagée. Mais les souvenirs suffisent-ils pour maintenir une histoire vivace ?

Markus et moi. est une ode à la vie qui continue et à la mémoire qui se transforme, une invitation à vivre ensemble, ici et maintenant, dans un présent jubilatoire nourri par les échos du passé.

La CeCiL’s Box fête en 2025 ses dix ans !

Depuis 2015, le Cercle Cité soutient la création locale et a présenté le travail de trente-quatre artistes jeunes et émergents de la Grande Région au sein de l’une de ses vitrines de la rue du Curé visible 24/7. 

À l’occasion de cet anniversaire, le Cercle Cité donne carte blanche à cinq d’entre eux pour un cycle de projections de films d’artistes tout au long de l’année. Explorant leurs recherches actuelles ou constituant une source d’inspiration pour leur pratique, ces projections seront suivies d’une rencontre avec les artistes, en discussion avec des spécialistes de leur champ artistique ou amateurs de leur art.

Lors de cette cinquième projection, Stephen Korytko présentera son film The Golden Record. 

L'histoire de la mission Voyager de la NASA est l'une des entreprises les plus poétiques de l'humanité. En 1977, une équipe de scientifiques et d'artistes a créé le Golden Record (disque d’or en français), une collection de sons et d'images représentant la vie humaine. Lancé dans l'espace, il s'agissait d'un geste à la fois plein d'espoir et vulnérable : « Voici qui nous sommes. Qui êtes-vous ? »

La mission Voyager incarne un espoir tragique. Les chances que le disque soit intercepté, et qui plus est compris, sont infiniment faibles. Pourtant, son véritable objectif n'était peut-être pas la communication avec des extraterrestres, mais l'autoréflexion - une façon de nous interroger : qu'est-ce qui fait de nous des êtres humains ?

Ces questions ont inspiré The Golden Record, un court-métrage sans dialogue sur la communication et la connexion. Se déroulant entièrement dans un studio d'enregistrement, il raconte l'histoire de Mary et de son père, dont les relations tendues reflètent les complexités de la quête de l'humanité pour communiquer avec le cosmos. Comment pouvons-nous espérer entrer en contact avec des mondes lointains alors que nous avons du mal à nous comprendre les uns les autres ?

Le film juxtapose l'intime et le cosmique, soulignant la tension entre les avancées technologiques et le désordre organique des émotions humaines. Son langage visuel souligne ces thèmes : les barrières physiques, les cadrages isolés et les compositions changeantes reflètent la distance émotionnelle et l'état d'esprit des personnages principaux.

Sélectionné par le célèbre festival du film Nuits noires de Tallinn, The Golden Record invite le public à réfléchir sur notre besoin de connexion, à la fois avec les autres et avec l'univers. Connu pour présenter des projets audacieux et non conventionnels, le festival a reconnu le film pour sa profondeur atmosphérique et sa narration ouverte.

La projection sera suivie d'une discussion avec Alessandra Luciano (Ministère de la Culture).

Entrée libre, sur inscription

Nick Payne

en langue française

avec Valérie Bodson et Olivier Foubert

et la participation de Lis Dostert, Christiane Rausch et Timo Wagner

mise en scène – Lol Margue

scénographie et costumes – Christian Klein

assistanat à la mise en scène et lumières – Antoine Colla

vidéo – Gilles Seyler

coproduction Théâtre du Centaure, Kulturhaus Niederanven

Constellations est la pièce qui a révélé Nick Payne au grand public et l’a imposé comme l’une des voix majeures du théâtre britannique contemporain. À travers une série de scènes brèves et fragmentées, elle retrace l’histoire d’amour improbable entre Marianne, physicienne, et Roland, apiculteur. Mais chaque scène est également proposée avec de légères variations, comme si chaque mot, chaque geste, chaque silence ouvrait une nouvelle réalité.

Inspirée de la théorie du multivers, la pièce explore comment nos choix — même les plus infimes — peuvent faire basculer nos vies dans des directions radicalement différentes : joyeuses, douloureuses ou bouleversantes.

Ce qui commence comme une comédie romantique se transforme peu à peu en une réflexion sur l’amour, la maladie, la mort et le libre arbitre. Le thème de la fin de vie, particulièrement d’actualité en France avec l’adoption récente d’une loi sur l’aide à mourir, y trouve un écho poignant.

À travers un langage simple mais chargé d’émotion, Constellations interroge la nature de l’amour, la fragilité de l’existence et la beauté des instants partagés, même s’ils sont éphémères. Les spectateurs ne peuvent s’empêcher de repenser à leurs propres trajectoires : et s’ils avaient suivi un autre chemin à un moment décisif de leur vie ?

C’est une œuvre à la fois scientifique et poétique, intime et universelle.

MARIANNE.

Dans le multivers quantique, tout choix, toute décision que tu as pu prendre – ou ne jamais prendre – existe dans un ensemble inimaginablement vaste d’univers parallèles.

« Elle amuse, elle surprend, elle foisonne d’idées… mais elle bouleverse aussi, en silence, avec une émotion qui vous emporte. »

Daily Telegraph

Il y a d'abord la terre, les terres. Les terres blessées, saccagées, gorgées de sang. Il y a aussi la terre qui ne suffit plus aux hommes. Alors ils la dépècent, la triturent, la fouillent de fond en comble. Il y a aussi l'Europe et l'Amérique et leur arrogance et leur mensonge et leur hégémonie séculaire. Il y a aussi les pères. Leurs dos tournés à jamais. Leur silence. Leur lâcheté. Il y’a l'égarement, la solitude, la déstructuration des fils. Leur soif de repères. De sens. Il y a aussi le sens de l'honneur et de la dignité des femmes, des mères.

Fadhila veut célébrer le courage de ces femmes et à travers elles toutes celles et tous ceux qui au quotidien “disent non à l'ombre” en prenant à eux-mêmes quelque chose de vital afin de sauver le souffle commun, la respiration commune, l'humanité. 

Aristide Tarnagda, né à Ouagadougou, a écrit ce texte, dont Fadhila est la figure centrale. Sur le plateau couleur de terres brûlées, quatre comédien·nes donnent corps et vie à cet hommage aux mères de tous horizons, qui tentent de retenir les bras meurtriers pendant que leurs fils n’ont souvent d’autres choix que la guerre ou l’exil. 

En écho à la situation dégradée de son propre pays, le Burkina Faso, Aristide Tarnagda joue des allers-retours entre les deux continents, sans pour autant quitter le fil d’une fresque universelle. La troupe d’Aristide Tarnagda sera en septembre en résidence au TNL.

Cet atelier s’adresse à toutes les personnes ayant au moins un niveau intermédiaire en espagnol et souhaitant explorer leur imagination à travers l’écriture. Chaque séance propose des exercices ludiques et stimulants pour éveiller la créativité. L’ambiance est conviviale et bienveillante, favorisant l’expression personnelle et le partage. À la fin de chaque rencontre, une tertulia permet aux participants d’échanger librement. Passez une soirée détendue avec des personnes qui partagent la passion pour la langue espagnole.

Introduction : Prof. Aline Muller (directrice du LISER)

Panel : Jean-Claude Juncker, Colette Flesch, Guy Castegnaro, Dr. Patrick Thill, Dr. Franz Clément, Robert Schneider.

Modération : Annick Goerens (RTL Lëtzebuerg)

Après la parution en 2024 du livre de Guy Castegnaro et Robert Schneider, ce regard croisé revient sur la vie, l’engagement et l’héritage de John Castegnaro, qui, déjà en son temps, a affronté une série de défis similaires à ceux que connaît aujourd’hui le Luxembourg en matière de marché du travail et de dialogue social fragilisé. Ces enjeux sont mis en perspective à la lumière des réalités actuelles, notamment un marché du travail en quête de main-d’œuvre et l’émergence de l’intelligence artificielle, qui représente pour le Luxembourg à la fois un défi et une opportunité.

En Luxembourgeois

Inscription

par E-Mail : info@ipw.lu

par téléphone : 352 49 04 43-1

Organisation : LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Reserach), Institut Pierre Werner

Soutien : neimënster